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Sebastian Fletcher may the lord open
( pseudo ) : Ludies ( célébrité ) : Asa Butterfield ( multicomptes ) : Neolina & Gardien Ward ( arrivée à Aberdeen ) : 24/02/2019 ( messages ) : 109 ( tickets ) : 366 ( patronyme ) : Sebastian Fletcher ( âge du personnage ) : 17 ans
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Lun 25 Fév - 20:05 | Mi-février 2019. Plus de musique. Plus de livre. Plus de télé, d’internet, de téléphone. Plus rien, si ce n’est l’ennui, et pourtant les gens ici ne semblaient pas s’ennuyer et il se demandait bien comment est-ce qu’ils faisaient. Il n’avait qu’une envie se tirer loin d’ici, retrouver une ville normale ! Sérieusement, il n’allait pas pouvoir voir la dernière saison de GOT. LA DERNIERE SAISON. Qui va aller sur le trône ? Qui ? Mystère et boule de gomme, et là, pas moyen de se faire salement spoiler. Imaginez ce traumatisme d’être ici, bloqué dans cette ville de merde, alors que vous savez qu’ailleurs les épisodes sont diffusés. Il lui restait encore quelques mois, peut-être qu’il trouverait un moyen de le voir… mais sans ordinateur et autre, il ne pourrait même pas essayer de pirater quelque chose et il n pouvait pas non plus partir comme ça. Miséricorde ! On inspire. On expire. On se promène en ville, le samedi, par ce qu’on a rien d’autres à faire. Il fallait qu’il essayait de repérer un de ses frangins/frangines qui étaient partis il ne savait où. Peut-être qu’ils auraient trouvé un moyen de se procurer des clopes, ou autres. Il était à un point, où il était certain que même les musiques qu’il détestait avant il serait heureux de les entende. Et en attendant, on chantonne, doucement, faut pas abuser, il craignait de se faire trucider sur place sinon. Pour avoir chanté. Il n’était pas certain de cette règle-là, mais vu que tout était restrictif contenant « l’autre monde ». «Soyez prêtes pour le coup le plus génial Soyez prêtes pour le plus beau scandale. Je dis compromission .Je dis conspiration.Je crie humiliation.Trois mots qui me feront Un roi incontesté, Respecté, salué Le seul dieu vivant qu'on acclame» Oui, il chantonnait cela, si quelqu’un l’entendait, ce qui l’étonnerait, il n’allait quand même crier au scandale et croire qu’il voulait devenir calife à la place du calife. Quoique, ils avaient l’air tellement…. Cons par ici, que si, ils étaient probablement hurler TRAHISON –disgrace-.
Je disais, donc, il se promenait, quand soudain, le mouchoir d’une petite bonde tomba sous son nez. Le genre de choses que l’on voit normalement que dans les films, et après, genre les gens deviennent super après amoureux après un coup de foudre. Il gloussa un peu en pensant à cela, en sachant que c’était totalement impossible. Il ramassa donc le mouchoir. HEY M’dame.. m’dame ! dit-il en lui courant après la feme en se rendant compte qu’elle était pas une dame. Pardon, Hey m’mazelle ! il l’avait rattrapé et lui secouait un peu le mouchoir devant le nez pour qu’elle voit bien ce qu’elle avait fait tomber. «Vous avez perdu ça. » Et là il se rendit compte qu’il avait oublié LA phrase à dire et il bugua, c’était laquelle déjà ? «heu… béni soit le fruit ? Non c’est pas ça … si ? non ? Rh, c’pas possible je comprends pas ce que ça veut dire. » bougonna-t-il dans la barbe qu’il n’avait pas.
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Noa Joyner may the lord open
( pseudo ) : ODAYA OCHAVEN. ou Flo. ( célébrité ) : Rosie Tupper ( multicomptes ) : Je ne cèderai pas à cette tentation. Enfin j'espère ! ( arrivée à Aberdeen ) : 29/08/2018 ( messages ) : 1122 ( tickets ) : 1998 ( patronyme ) : Noa Rose. Prénom donné par ses parents, non de son père. Désormais, elle est Joyner, femme d'un Gardien. Un nom qui l'identifie, mais qui n'est rien pour autant. ( âge du personnage ) : 25 ans. Quelques années au compteur, quelques années passée à vivre à Aberdeen, dans une paix et un confort inégalable. ( emploi ) : Aucun. Elle est l'épouse d'un gardien, c'est suffisant. ( localisation ) : A l'Eglise, chez son mari, le Gardien Joyner. Celui qui fait de sa vie un véritable paradis, jour après jour. Elle ne le remercia jamais autant pour la chance qu'il lui donne au quotidien.
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Mar 26 Fév - 19:45 | le mouchoir under his eye Une journée comme une autre s’est levée sur la ville d’Aberdeen. Une journée au cours de laquelle Noa, comme toujours, allait au marché sur la place du village, discuter avec les commerçants, trouver de quoi manger pour la journée. Ce jour-là, elle était partie avec Marie, sa voisine et sa compagne de courses. Une jeune femme discrète, d’environ le même âge qu’elle, mais qui à la différence de Noa, était enceinte jusqu’au cou. Très gentille, très discrète, Noa et elle partageaient les mêmes valeurs et les mêmes sujets de discussion. De ce fait, elles s’entendaient parfaitement bien et n’hésitaient pas à discuter, à profiter de chaque ballade pour en apprendre plus l’une sur l’autre. Parfois, elles parlaient de leurs familles respectives, ou de leur mariage. A d’autres moments, des enfants qu’elles aimeraient avoir, ou encore de leur quotidien et de leurs loisirs. Bref, tout était sujet à discussion, ce qui leur plaisait énormément. Et puis, il n’y avait pas à dire, Noa aimait profiter de son quotidien, simple, mais sans surprises.
D’ailleurs, alors qu’elles quittaient le quartier blanc, direction la place du village, elles entendirent une drôle de voix. Déjà, il s’agissait d’une voix masculine, mais certains mots qu’il avait utilisés étaient assez étranges. Comme ce « m’mazelle », que Noa n’avait pas du tout compris. A quoi cela pouvait bien correspondre ? C’est un peu gênées et dans l’embarras qu’elles virent débouler un jeune garçon. Il ne devait pas être bien plus vieux qu’elles, peut-être même plus jeune. A leur grande surprise, il tendit à Noa un mouchoir. « Béni soit le fruit. » Commença la jeune femme. Quand elle vit qu’il ne lui retournait pas la salutation, elle glissa un regard surpris à son ami. Puis, il bougonna quelques mots dans sa barbe. « Euh… Monsieur, tout va bien ? » Lui demanda-t-elle. Le mouchoir dans ses mains lui rappela qu’elle ne l’avait, en aucun cas, remercié pour son geste. « Merci beaucoup pour mon mouchoir, c’est très aimable de votre part. » Ce qui était le cas d’ailleurs. Elle ne s’était même pas rendue compte qu’il était tombé de sa poche. Chose assez surprenante. C’est donc avec un certain soin qu’elle le glissa, cette fois-ci, dans la poche de son tablier, celle-ci, plus grande et plus profonde, ne risquait pas de laisser tomber son mouchoir. En tout cas, elle l’espérait, sinon ça deviendrait compliqué à gérer. Oh, pas qu’elle n’ait qu’un mouchoir, mais parce qu’elle ne voulait pas non plus gaspiller. Là n’était pas du tout l’idée. « Vous avez perdu quelque chose ? » Finit-elle par demander au jeune homme, incapable de comprendre ce qu’il avait pu baragouiner. Peut être que c’était quelque chose d’important, ou peut être qu’il avait besoin de leur aide ? Bien sûr, elles ne pouvaient pas l’aider dans tous les domaines, mais au moins, elles pouvaient essayer. C’était la moindre des choses. |
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Sebastian Fletcher may the lord open
( pseudo ) : Ludies ( célébrité ) : Asa Butterfield ( multicomptes ) : Neolina & Gardien Ward ( arrivée à Aberdeen ) : 24/02/2019 ( messages ) : 109 ( tickets ) : 366 ( patronyme ) : Sebastian Fletcher ( âge du personnage ) : 17 ans
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Mer 27 Fév - 10:16 | Ah oui, voilà, béni soit le fruit. Quelle phrase à la con sérieusement. Dans quel monde bénir un foutu fruit, signifiait dire bonjour. Non, vraiment, ça s’était juste encore plus étrange que le reste… par ce que le reste, il y avait des arguments qu’il trouvait totalement débiles, mais ils étaient-là. Dans tous les pays du monde, on disait, hello- bonjour et compagnie…. Aucun, était béni soit le fruit ! On se calme Seb, on se calme, de toute manière la petite dame n’y était pour rien, ni son amie enceinte jusqu’aux yeux. Pauvre gosse, vivre dans un monde comme celui-là, être élevé avec tous ces principes à la con, et être aussi étroit d’esprit que les autres ici. Ca ne serait pas de sa faute, il en avait conscience, il ne saurait probablement pas comment c’était dehors. C’était au final peut-être une chance… oui une chance, car il ne saurait pas ce qu’il manquerait, il n’y aurait donc aucun « manque ».
Monsieur, Monsieur ?! Il avait une gueule de vieux pour qu’on l’appelle Monsieur. Monsieur, c’était probablement mieux que « délinquant », mais jeune homme était quand même préférable. Il avait l’impression d’avoir pris dix piges d’un coup-là ! Il n’avait même pas 18 ans quoi ! «Oui, oui… tout va bien merci… je … confonds juste tout. Pas l’habitude. Pardon. » Il se sentait franchement paumé dans ce monde, de quoi est-ce qu’il pouvait lui parler ici ? Comment est-ce que les gens d’ici draguaient ? Pas de ciné, pas de réelles lectures, on ne pouvait pas demander de clopes, pas de fêtes, pas d’alcool. Tristes jours. Elle avait repris la parole, le remerciant pour le mouchoir. Il haussa les épaules. Soudain un peu stressé. Tout ça le mettait sur les nerfs, il aurait besoin d’une bonne clope, il était certain d’avoir senti l’odeur quelque part. Imagination, ou pas ? Peut-être que l’on pouvait s’en procurer quelque part… mais à qui demander sans se faire taper sur les doigts par la suite ? «DE rien, c’est bien normal. Je n’allais pas le laisser par terre… je sais ce que c’est après de chercher partout un objet qu’on a en fait égaré… disons à l’extérieur. » Il lui dédia son plus beau sourire. Elle était plutôt charmante, il fallait bien l’avouer. Il se tut quelques instants, et se demanda comment formuler, sans paraitre pour un parfait crétin la réponse de la dernière question de la jeune femme. Quant au fait s(il avait perdu quelque chose ? «Ma bonne humeur. » dit-il d’un ton qui se voulait espiègle, même s’il y avait un fond de vérité là-dedans. « Je viens d’arriver en ville avec ma famille, et je suis effectivement un peu perdu avec…. Ces nouveautés. Je m’embrouille un peu les pinceaux…» Il n’était pas encore fou au point de se montrer vulgaire, désobligeant face à leur coutume, il tenait à sa vie.
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Noa Joyner may the lord open
( pseudo ) : ODAYA OCHAVEN. ou Flo. ( célébrité ) : Rosie Tupper ( multicomptes ) : Je ne cèderai pas à cette tentation. Enfin j'espère ! ( arrivée à Aberdeen ) : 29/08/2018 ( messages ) : 1122 ( tickets ) : 1998 ( patronyme ) : Noa Rose. Prénom donné par ses parents, non de son père. Désormais, elle est Joyner, femme d'un Gardien. Un nom qui l'identifie, mais qui n'est rien pour autant. ( âge du personnage ) : 25 ans. Quelques années au compteur, quelques années passée à vivre à Aberdeen, dans une paix et un confort inégalable. ( emploi ) : Aucun. Elle est l'épouse d'un gardien, c'est suffisant. ( localisation ) : A l'Eglise, chez son mari, le Gardien Joyner. Celui qui fait de sa vie un véritable paradis, jour après jour. Elle ne le remercia jamais autant pour la chance qu'il lui donne au quotidien.
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Jeu 7 Mar - 8:25 | le mouchoir under his eye « Ce sont des choses qui arrivent. » Sourire tendre sur le visage, Noa ne voulait surtout pas paraître étrange, ou irrespectueuse. Elle se disait que, à sa place, peut-être qu’elle aussi aurait du mal à se faire à un tout autre environnement. Peut-être, qu’elle aussi trouverait ça étrange, différent… Elle ne savait pas trop ce qui se passait dans la tête du jeune homme en face d’elle, mais elle comprenait parfaitement qu’il puisse être dépaysé. Enfin, d’une certaine façon. De ce fait, elle essayait d’être la plus respectueuse possible, la plus ouverte possible. Peut être qu’il allait avoir besoin d’un renseignement, d’aide, ou de quelque chose qu’elle était en mesure de lui apporter. Ne sachant pas exactement, elle préférait, évidemment, se préparer à toute possibilité. « Oh, c’est vrai. » Après tout, elle aussi aurait apporté de l’aide à quelqu’un qui avait perdu un objet. Pour autant, elle ne se passerait pas des remerciements pour ça. « Tout comme c’est normal de vous remercier, non ? » Demanda-t-elle, pas très sûre de vouloir une réponse à sa question, mais elle ne voulait pas apparaître irrespectueuse auprès de son interlocuteur du moment. « Oh… » Subitement, elle s’inquiéta un peu pour le jeune homme. Que se passait-il pour qu’il soit triste ? « Vous avez besoin d’en parler ? » Lui demanda-t-elle, concernée par son état. Après tout, s’il avait besoin de quelqu’un, elle pouvait lui conseiller le Centre Médical, ou bien un Père. Peut être que quelqu’un serait en mesure de l’aider. Certes, elle n’était qu’une bénévole au centre médical, mais si elle pouvait apporter quelque chose, la moindre aide, ça serait déjà mieux que rien, non ? En tout cas, c’est ce qu’elle pensait. « Bienvenue à Aberdeen alors. » Glissa-t-elle, sourire sur le visage, ravie de son arrivée. C’était toujours étrange d’avoir de nouveaux en ville, surtout qu’elle était, quant à elle, native d’Aberdeen. Elle n’avait jamais rien connu d’autres. Donc, elle ne savait pas trop comment réagir. Elle n’était pas en mesure de savoir s’il lui manquait quelque chose, ou pas, s’il avait besoin de quelque chose en particulier ou pas, elle ne savait pas comment il pouvait vivre le changement de ville. Et en fait, Noa ne savait même pas si le changement était particulier, ou faisait un quelconque effet. C’était des choses qu’elle ignorait. « Je peux comprendre, ce n’est pas toujours simple. » Elle haussa les épaules. « Je suis sûre que vous vous y ferez avec le temps. » Sa compagne de balade, subitement, demanda de s’asseoir. « Oh, bien sûr. » D’un coup d’œil, Noa trouva un banc, sur lequel elle aida la jeune femme à s’installer, avant de s’asseoir à ses côtés. Jetant un coup d’œil au jeune homme, elle l’invita à se joindre à elles. « Je suis Noa, Noa Joyner. Vous êtes ? » Lui demanda-t-elle alors, préférant commencer les présentations. Elle en profita pour introduire sa compagne, avant de le laisser prendre la parole. |
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( pseudo ) : Ludies ( célébrité ) : Asa Butterfield ( multicomptes ) : Neolina & Gardien Ward ( arrivée à Aberdeen ) : 24/02/2019 ( messages ) : 109 ( tickets ) : 366 ( patronyme ) : Sebastian Fletcher ( âge du personnage ) : 17 ans
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Sam 9 Mar - 18:41 | Cette fille avait vraiment quelque chose de troublant, il ne savait pas dire quoi, mais il y avait un truc de gênant dans sa façon de faire de faire et d’appréhender les choses sans qu’il puisse mettre le doigt dessus. ROBOT, lui soufflait son esprit, son imagination. Ouais voilà son sourie, sa gestuelle, sa façon de parler, tout semblait presque pré-programmé comme dans une foutue machine ! Endoctrinement, secte, voilà ce que c’était cette foutue ville ! Mais pour l’instant, il devait surtout se concentrer sur… sur la conversation histoire de ne pas dire de choses qu’il ne faudrait pas. Les gens trop polis, trop mielleux et gniagnian, ça lui donnait envie de se tirer une balle dans le ciboulot. Sérieusement, ils n’avaient aucune répartie dans ce bled ? Et v’la qu’en plus, elle acceptait qu’il lui parle de ses soucis, alors qu’ils ne se connaissaient pas le tout avec un sourire angélique. ELLE SE DROGUAIT A QUOI ??? Comment est-ce qu’on pouvait encore être comme ça ? Est-ce qu’elle conne ? Simplette ? Aveugle ? Il inspira un bon coup et essaya de se calmer. «Non, non, ça va aller ne vous inquiétez pas, de toute manière, il n’y a rien que l’on puisse faire contre… le manque de ses amis et de plein d’autres choses, il faut s’y habituer. »
Bienvenue à Aberdeen, qu’elle lui disait, toujours aussi gentille et adorable et cela lui donnait envie de la secouer comme un prunier. Et l’autre nana, voulait maintenant s’asseoir, il aurait pu en profiter pour s’en aller, mis qui sait pourquoi est-ce qu’il resta planté là comme s’il avait pris racine ? Stupide créature qu’il était ! Il s’approcha d’elle, mais préféra rester debout. Sebastian ; Sebastian Fletcher, enchantées mesdames….zelles ?! Oui, c’était réellement une question, est-ce qu’elles étaient déjà mariées ? Ou pas ? Oui, c’était important, par ce que peut-être que si elles n’avaient personne –une fois que l’autre aurait pondu-, il pourrait essayer de les draguer, vu son âge, il se ferait surement refouler… et d’ailleurs, il n’était pas bien certain que ce soit bien vu ici de draguer. Il hésita quelques instants, il allait devoir poser cette question qui lui brulait les lèvres de façon pertinente ! «Dites-moi, j’ai une question, probablement un peu futile, mais j’ai un peu de mal à tout saisir… comment est-ce que ça marche ici …» pour pécho une fille sans enfreindre de règles… enfin une ou plusieurs. Qui m’aime me suive. Pourquoi s’enchainer avec un nombre ? «… pour draguer quelqu’un sans … en étant dans ses bons droits. Vous connaissez bien ce mot, hein ? » Ouais, maintenant que tu l’as dit, petiot, c’est le moment de se soucier de si elles connaissent ou pas la signification de ce mot… par ce que dans un cas ou dans l’autre, il paraitrait comme un con.
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Noa Joyner may the lord open
( pseudo ) : ODAYA OCHAVEN. ou Flo. ( célébrité ) : Rosie Tupper ( multicomptes ) : Je ne cèderai pas à cette tentation. Enfin j'espère ! ( arrivée à Aberdeen ) : 29/08/2018 ( messages ) : 1122 ( tickets ) : 1998 ( patronyme ) : Noa Rose. Prénom donné par ses parents, non de son père. Désormais, elle est Joyner, femme d'un Gardien. Un nom qui l'identifie, mais qui n'est rien pour autant. ( âge du personnage ) : 25 ans. Quelques années au compteur, quelques années passée à vivre à Aberdeen, dans une paix et un confort inégalable. ( emploi ) : Aucun. Elle est l'épouse d'un gardien, c'est suffisant. ( localisation ) : A l'Eglise, chez son mari, le Gardien Joyner. Celui qui fait de sa vie un véritable paradis, jour après jour. Elle ne le remercia jamais autant pour la chance qu'il lui donne au quotidien.
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Ven 15 Mar - 13:13 | le mouchoir under his eye Sourire contrit sur le visage, Noa ne connaissait pas le sentiment que décrivait le jeune homme. Sa raison lui soufflait qu’effectivement, le manque devait être compliqué. Délicat peut être. Pour autant, elle ne se souvenait pas de l’avoir vécu. Est-ce que quelque chose lui avait déjà manqué ? D’une certaine façon – sans savoir si c’était comparable – sa maison lui avait manqué, le temps (court) de son hospitalisation. Peut être, peut être, que c’était la même chose. Elle ne savait pas, préférait ne pas savoir. Elle avait la chance d’avoir une belle vie, avec un compagnon et une famille qui l’accueillait. D’ailleurs, lui aussi avait sa famille, c’était une belle chose. Certains venaient ici sans aucuns proches, pour ceux qui restaient en tout cas. Noa n’avait jamais trop compris d’ailleurs, pourquoi certains restaient plus longtemps que d’autres, les raisons qui étaient derrière ces départs. Enfin, ça ne la concernait pas de toute façon, alors elle préférait ne pas trop se pencher sur un sujet qui ne la concernait pas. Ne disait-on pas que la curiosité était un mauvais défaut ? « D’accord. » Elle sourit, essaye de trouver quelque chose à dire. « Je pense que vous arriverez à vous y habituer. » Était-ce suffisant ? Était-ce qui se disait dans ces moments-là ? La jeune femme n’en savait trop rien à vrai dire. « Si jamais, vous pouvez en parler à nos Pères, ils seront ravis de vous écouter. » Les Fils de Jacob étaient, après tout, là pour ça.
« Enchantée. » sourire sur les lèvres, assise à côté de son amie, elle reprend. « Noa Joyner, je suis l’épouse du Gardien Joyner. » Habituée à se présenter de la sorte, Noa ne se rendait certainement pas compte que, d’une certaine façon, toute sa vie et son identité était conditionnée par son mari. Comme si quelqu’un d’autre la définissait. Ce n’était pas un sujet sur lequel elle avait réfléchi, ou ne serait-ce questionné, parce que c’était ainsi. Et que, de toute façon, ça lui allait très bien. Noa était une parfaite petite fille du système, qui ne remettait rien en cause. Parce qu’elle ne le souhaitait pas, mais aussi parce qu’avec toute la bonne volonté du monde, elle en serait incapable. Pour l’instant en tout cas. Dans un souffle, elle présenta sa comparse, plus timide. « Excusez-là, sa grossesse est bien avancée, c’est toujours délicat. » Car oui, sa grossesse faisait d’elle une femme un peu plus renfermée, distante, surtout avec les étrangers. La peur de perdre son enfant, surtout au vu des difficultés à en avoir un, était toujours présente. Prenante. Toutes les femmes priaient pour que la grossesse arrive, tout en craignant qu’elle ne s’arrête brusquement. Un cauchemar qui hantait plusieurs d’entre elles. D’autant qu’encore aujourd’hui, certaines vivaient la perte d’un être cher, d’un enfant. « Draguer ? » Demanda-t-elle, ne comprenant pas ce qu’il voulait dire. Le mot lui était étranger. « Draguer… » Elle le fit rouler dans sa bouche, le goûtant, se questionnant sur le sens qu’il pouvait bien avoir. De quoi parlait-il ? que cherchait-il à savoir ? C’était assez étrange comme mot. Cherchait-il un quartier ? Après tout, il lui avait demandé le fonctionnement, donc peut être qu’il ne savait pas se repérer dans la ville ? « Avez-vous besoin d’une carte, ou d’un plan ? » Il semblait pour autant bien se débrouiller, Noa était d’ailleurs sûre qu’un homme lui avait présenté la ville, puisque c’était ainsi que ça fonctionnait. « De quoi avez-vous besoin ? » Finit-elle par demander, assez surprise par cette question, dont elle ne comprenait pas un seul mot, ni même le sens global. |
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( pseudo ) : Ludies ( célébrité ) : Asa Butterfield ( multicomptes ) : Neolina & Gardien Ward ( arrivée à Aberdeen ) : 24/02/2019 ( messages ) : 109 ( tickets ) : 366 ( patronyme ) : Sebastian Fletcher ( âge du personnage ) : 17 ans
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Mer 20 Mar - 22:27 | En parler à leurs Pères ? Ouais, non, il n’avait pas besoin de parler de ça à quelqu’un de coincé, qui ne comprendrait pas. Il ne les connaissait pas réellement, ces Pères-là, mais il n’avait pas non plus envie de les connaitre plus que cela ! Cependant, il avait bien compris qu’il ne pouvait pas répondre ce genre de choses ! «J’y songerai si j’en ressens le besoin, merci du conseil. Je ne pense pas que j’y aurais pensé de moi-même. » Autant jouer un peu le neuneu et bien la remercier, avec un peu de chance cela aurait un effet positif : ce genre de tactique marchait normalement bien avec les filles, surtout avec sa petite bouille, d’ailleurs il prit bien soin de faire celle où il faisait « innocent ».
Et elle se présenta, comme épouse de. OK. Tout va bien. Genre la meuf elle n’a rien d’autres dans la vie ? Dans quel monde vivait-elle, comment est-ce que l’on pouvait se présenter comme ça, lorsqu’on ne connaissait pas ledit mari. C’était… comme si elle n’était rien sans l’homme, qu’un objet ou quelque chose dans ce genre-là, et cela le laissait un peu perplexe, non même énormément ! Qu’est-ce qu’il pouvait bien répondre à cela ? Et voilà qu’en plus on lui disait que si elle présentait l’autre femme c’était par c que sa grossesse était avancée. Il avait vu des femmes mises en cloques (enfin « des », peut-être deux voire trois), même au moment d’accoucher, elles parlaient toujours bien et sans aucun souci. C’était donc juste étrange. «Enchanté Mesdames » dit-il finalement poliment. Voilà, il devait se croire dans un RPG grandeur nature, ou il ne devait pas avoir droit à l’erreur sinon le MJ allait lui tomber sur le coin de sa tronche ! «Pas de souci. »
Et elles semblèrent, surtout la Noa, interloquées par le mot draguer. D’accord, comment est-ce qu’il allait pouvoir expliquer ça, vu que même ce genre de sujet devait être interdit, à moins qu’il n’utilise pas le bon terme… Comment le savoir exactement ? Il se gratta un peu l’oreille, tandis qu’elle se mit à lui de carte et de choses dont il avait besoin. Juste de savoir si on pouvait draguer ou si c’était interdit, ce n’était pas compliqué quand même à comprendre, ça lui donnait presque envie de pleurer de frustration, d’anxiété tellement tout était tellement différent, tant une erreur semblait pouvoir être punie sévèrement, tant son Monde lui manquait. Il détestait ce lui, il le détestait, viscéralement. « C'est.. comme flirter, faire des avances... quand un garçon... enfin quand une fille plait à un garçon il la drague, pour faire connaissance, voir s'ils vont bien ensemble... voire s'ils pourraient être en couple, ou dans certains cas juste pour avoir une relation d'un soir, avec le consentement des deux, bien entendu. »
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Noa Joyner may the lord open
( pseudo ) : ODAYA OCHAVEN. ou Flo. ( célébrité ) : Rosie Tupper ( multicomptes ) : Je ne cèderai pas à cette tentation. Enfin j'espère ! ( arrivée à Aberdeen ) : 29/08/2018 ( messages ) : 1122 ( tickets ) : 1998 ( patronyme ) : Noa Rose. Prénom donné par ses parents, non de son père. Désormais, elle est Joyner, femme d'un Gardien. Un nom qui l'identifie, mais qui n'est rien pour autant. ( âge du personnage ) : 25 ans. Quelques années au compteur, quelques années passée à vivre à Aberdeen, dans une paix et un confort inégalable. ( emploi ) : Aucun. Elle est l'épouse d'un gardien, c'est suffisant. ( localisation ) : A l'Eglise, chez son mari, le Gardien Joyner. Celui qui fait de sa vie un véritable paradis, jour après jour. Elle ne le remercia jamais autant pour la chance qu'il lui donne au quotidien.
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Le mouchoir & les bonnes manières - Noa par Auteur le Lun 8 Avr - 10:19 | le mouchoir under his eye Sourire sur le visage, Noa était foncièrement bienveillante. Incapable de voir le mal dans les valeurs qu’on lui avait inculqué, puisqu’elle avait baigné dedans depuis son plus jeune âge, elle était aussi incapable de remettre quoique ce soit en question. Etait-ce là le fruit d’un conditionnement par la violence ? Non. En aucun cas. Ses parents, bienveillants, aimants, respectueux du système, avaient toujours été là pour elle, tout le temps. Ils avaient veillés à ce qu’elle soit bien éduquée, à ce qu’elle comprenne tout ce qui lui était enseigné et à, ne jamais, douter de la parole des autres. Noa n’avait jamais questionné ce qui l’entourait, déjà par incapacité mentale, dans le sens où elle n’avait pas les repères, ou les questions, qui lui venaient à l’esprit. Et, ensuite, parce que l’enseignement de ses parents, basé sur le respect de chacun, dénué de crainte et baigné dans un amour inconditionnel, lui avait fait aimé Gilead. Noa, plus que beaucoup d’autres, aimaient les religieux qui lui transmettaient leur Foi, elle aimait les Gardiens qui se sacrifiaient pour les protéger, elle aimait les Servantes qui donnaient leur corps pour la communauté. Noa, tolérante, aimante et douce, ne voyait pas le mal dans le système qui l’entourait, car pourquoi l’amour pouvait être mauvais ? Etait-elle forcée d’être avec le Gardien Joyner ? Noa ne pouvait se poser la question, la notion de force, comme elle l’était suggérée dans un tel rapport, n’existait pas, pas du tout, dans sa vision du monde. C’était même un mot qui n’appartenait pas à son vocabulaire. Alors oui, c’était surprenant pour certains, comme pour les étrangers, mais Noa ne comprenait même pas cette surprise. Elle pensait juste qu’ils étaient perdus, qu’ils ne savaient pas réellement reconnaître la bienveillance et la douceur quand ils la voyaient réellement, bercés dans une société plus violente que la leur. Elle avait juste, énormément, de pitié pour ces étrangers qui, perdus dans un ancien mode de vie, finissaient par choisir Aberdeen et ses traditions. C’était la preuve, non, qu’ils avaient raison ? En tout cas, elle prenait toujours soin des autres, même de ceux dont elle ne connaissait rien, de ceux qui étaient arrivés la veille, ou il y a à peine quelques heures. En fait, elle prenait soin de tous ceux qui passaient dans son quotidien, parce qu’elle pensait que c’était naturel. Normal. Simplement. « De rien. » Sourire sur les lèvres, elle était ravie de lui avoir apporté un peu d’aide. Après tout, c’était aussi son rôle en temps que citadine, alors c’était chouette s’il avait trouvé un élément en plus pour avancer, pour savoir quoi faire et comment faire.
Sourire sur le visage, Noa était contente de rencontrer quelqu’un d’autre. Quelqu’un de différent. Un étranger qui, en plus, savait se montrer parfaitement sympathique. Malgré sa différence et, il était certain, le changement radical d’environnement. La situation, vue de l’extérieur, pouvait être sacrément cocasse. Le jeune homme tentait d’expliquer à deux jeunes femmes la notion de drague. Sauf qu’il ignorait complètement que la moitié des mots qu’il utilisait étaient… Eh bien, complètement inconnus pour la jeune femme. « Euh… » Noa ne savait quoi trop dire. « Ah. » Elle essayait de réfléchir, de faire fonctionner les quelques notions qu’elle avait, avec les nouvelles. Comme un puzzle dont il lui manquait quatre-vingt-dix pourcents des pièces, mais dont elle s’acharnait à résoudre. « Je suis désolée. » Finit-elle par dire, les yeux baissés, le rouge aux joues, elle se sentait terriblement mauvaise de ne pas comprendre ce qu’un homme essayait de lui apprendre. « Je ne comprends pas. » C’était assez gênant, Noa n’aimait pas décevoir autant les personnes qui tentaient, en plus, de l’instruire, c’était pas une situation acceptable. Heureusement, elles ne lui arrivaient pas souvent, mais le sentiment de culpabilité qui la saisissait à chaque fois était dévastateur. « J’espère ne pas trop vous décevoir, j’essaye vraiment de vous comprendre, mais… Je crains de ne pas savoir de quoi vous parler. » Peut être qu’il lui parlait de quelque chose de très sérieux, de très important… Lui qui lui avait déjà fait l’honneur de lui apprendre quelque chose… Et voilà qu’elle foutait tout en l’air, incapable de comprendre ce dont il lui parlait. Décidément, elle faisait bien honte à son époux. |
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